Ecodouble - Mot-clé - NucléaireÉcologie, Histoire, Géographie, Physique, Politique, Bricolage et Récupération.2024-03-28T12:21:27+01:00Ecodoubleurn:md5:1c00c201c49745bb8309981ff74b1accDotclearCovid-19 : désastre agraire et urgence nucléaire !urn:md5:d01a8efdaced39e90b22940df9c2b8f82020-04-02T21:40:00+02:002020-04-12T19:13:50+02:00ÉcodoubleLes 4 véritésConfinementCovid-19DemeterNucléairePesticides <p>Il y a déjà un mois, je pensais, et disais à mes proches, que pour la période que nous allions vivre - que nous vivons maintenant - il serait souhaitable que fussent interdits les épandages de pesticides dans les champs, ceci afin de ne pas risquer d'affaiblir les poumons des populations avant les assauts du Covid-19.<br />
Cela n'a pas été fait ! Actuellement, toutes les nuits, des produits chimiques dangereux sont pulvérisés partout autour des villes et des villages.<br />
Bien entendu, il aurait été bienvenu d'interdire aussi l'épandage des lisiers et méthanisats, sources de grandes quantités de microparticules irritantes pour les poumons lors de leur dispersion dans les champs.<br />
Hélas, ça, ce n'était réellement pas possible, quand bien même cela aurait été décidé, grâce à un sursaut d'intelligence ! En effet, ces lisiers et méthanisats, véritables déchets, produits durant toute l'année par l'élevage intensif - celui-ci constituant un terrible Crime contre la Nature - n'auraient pu être conservés davantage dans les fermes industrielles normalisées, car les capacités de stockage de leurs fosses, tout aussi normalisées, ne sont pas celles du tonneau des Danaïdes ! (Je salue ici la cellule DEMETER, de la gendarmerie multinationale, chargée de réprimer les méchants terroristes anti-adhérants-de-la-FNSEA, dont je suis assurément si l'on en juge par ce que je viens d'écrire. Et je dis à cette cellule que l'Histoire montre qu'il vaut mieux résister plutôt que de collaborer.)</p>
<p>Je pensais, et disais aussi aux mêmes, qu'il serait judicieux de mettre à l'arrêt toutes les centrales nucléaires partout dans le monde. Au cas où ! Au cas où, par exemple, il adviendrait qu'une grande partie des personnes capables de piloter ces machineries infernales soit atteinte par la maladie, ce qui, à n'en pas douter, compromettrait grandement la sécurité très instable de ces installations. En effet, il faut savoir que pour ce qui est de la France, beaucoup de ces personnes sont d'un certain âge <a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2020/04/01/1" title="1">1</a>, âge qui les rend de façon certaine plus sensibles au virus.</p>
<p>En fait, ce qui me poussait à penser cela, c'est qu'une des caractéristiques propre aux politiques au pouvoir, dans notre monde néolibéral, consiste à s'avérer incapables de prévoir quoi que ce soit : Les membres du gouvernement français ne disaient-ils pas, tous, il y a encore deux-trois mois, qu'il fallait fermer des lits dans les hôpitaux pour faire des économies salvatrices pour le Pays <a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2020/04/01/2" title="2">2</a>.<br />
Aujourd'hui, on manque de lits, on manque de masques, on manque de médicaments.<br />
Il y a quelques mois, nos dirigeant n'imaginaient rien de ce qui devait être prévu et qui était prévisible <a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2020/04/01/2" title="2">2</a>. Ils n'imaginaient que les économies supplémentaires à faire autour de ce qui concerne le bien commun, pour mieux engraisser les biens privés.<br />
Si seulement ils savaient, nos énarques, ce qu'est la Loi de l'emmerdement maximal. Que ferait-on si, par exemple encore, durant le confinement Covid-19, une centrale nucléaire perdait son confinement, obligeant une large portion de territoire à se confiner dans le confinement ?<a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2020/04/01/3" title="3">3</a><br />
Gouverner c'est prévoir ! Ils ne prévoient rien ! Ils ne savent pas gouverner !</p>
<p>En tout cas, pour le nucléaire, je ne croyais pas si bien dire.<br />
Voici un lien vers le site de la CRIIRAD qui expose son opinion sur les possibles conséquences de la pandémie :<br />
<a href="http://www.criirad.org/actualites/dossier2020/2020-03-31-CP_Covid19_Surete.pdf?utm_source=sendinblue&utm_campaign=Communiqu_de_presse<strong>COVID19_et_Sret_Nuclaire_fautil_sinquiter</strong>__Envoi_Adhrents&utm_medium=email">L'avis de la CRIIRAD concernant le Covid-19</a>.<br />
Entre parenthèses, je me permets de vous suggérer de devenir membre de la CRIIRAD, association faisant partie de <a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?category/la-liste-des-defenseurs-de-la-terre">l'Ordre des Défenseurs de la Terre</a> : Elle est bien utile pour donner des informations aptes à contrebalancer la propagande des nucléocrates.</p>
<p>Quant aux agriculteurs de la mal-bouffe il ont été pris au piège tendu involontairement par la mise en place du confinement !<br />
Tout le pays étant arrêté pour la cause que vous savez, eux ne s'arrêtant pas, parce qu'il faut reconnaître qu'en l'état du système néolibéral, même s'ils produisent de la merde, c'est cette merde qui fait, en grande partie, que nous n'avons pas, pour l'instant, de famine généralisée, les mesures de la qualité de l'air faites la semaine dernière ont permis de bien identifier la quantité de micro-particules fines qu'ils émettent par leur "grand cirque" de machines tueuses de sols ; "grand cirque" qui arrive parfois à consommer plus de joules-pétroliers qu'il ne produit de joules-nourritures, preuve par excellence de son aberration.<br />
Ainsi, le confinement aura au moins eu le bon goût de nous donner la possibilité de quantifier exactement la part de la pollution atmosphérique imputable à l'agriculture intensive mortifère.<br />
Il faudra se souvenir de cette donnée lorsque la crise sera passée.</p>
<pre></pre>
<p><a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2020/04/01/1" title="1">1</a> Le 8 et 9 octobre 2019, dans la centrale nucléaire de Golfech, implantée sur la Garonne entre Toulouse et Agen, centrale qui a vu son personnel renouvelé de moitié en moins de cinq ans du fait des départs en retraite (la centrale a commencé sa production au milieu des années 80, soit il y a 35 ans, ce qui correspond au temps d'une carrière chez EDF) un grave incident, très très peu relayé par les médias nationaux, a failli conduire à une perte du refroidissement sur un des deux réacteurs du site ; ce qui veut dire, de façon plus compréhensible, qu'on a échappé de justesse à un Fukushima au pays du foie gras et du pruneau.<br />
En fonction du vent de la mi-octobre dans la région, cela eut été "Adieu Agen et Bordeaux !" ou "Adieu Toulouse, Montauban, Carcassonne et Narbonne !"<br />
<a href="https://www.asn.fr/Informer/Actualites/Evenement-significatif-de-surete-de-niveau-2-a-la-centrale-de-Golfech">Rapport très mollasson de l'ASN</a><br />
<a href="https://www.lefigaro.fr/flash-eco/nouvel-incident-a-la-centrale-nucleaire-de-golfech-20200110">Ce qu'en a dit le Figaro, laxiste en la matières radioactives</a> qui l'a mal classé au Niveau 1 au lieu du Niveau 2 (Même pas peur !)<br />
<a href="http://stopgolfech.org/2019/10/golfech-incident-grave-le-8-octobre-2019/">Communiqué de l'association "Stop Golfech"</a><br />
<a href="https://www.ladepeche.fr/2020/03/09/lepidemie-de-coronavirus-peut-elle-remettre-en-cause-la-surete-de-la-centrale-nucleaire-de-golfech,8786150.php">Ce qu'en disait La Dépêche du Midi à l'heure de l'arrivée du Covid-19</a></p>
<p><a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2020/04/01/2" title="2">2</a> Je n'évoque même pas l'existence de nombreux rapports rédigés par des organismes de la défenses nationales depuis la crise du SRAS, dont un de 2017 rédigé par un service de la France (je vous demande pardon car j'ai lu cela il y a quelques jours quelque part mais je ne le retrouve pas la source ; alors merci aux bonnes âmes qui voudront bien communiquer cette source en commentaire) rapport sans doute oublié dans un tiroir de Matignon ou de l'Elysée, rapport qui prévenait que la France se trouvait fort mal préparée à affronter les conséquences d'une grave épidémie ou d'une pandémie. Il ne serait pas étonnant que ce document ait été oublié parce qu'il ne fait aucun doute - c'est comme cela les rapports ! - qu'il conseillait d'engager des dépenses - ça rime avec Défense ! afin de blinder la protection de la population mais susceptibles, en même temps, de gréver les avantages fiscaux accordés aux copains méga-blindés de fric de Macron, le "Bel-Ami" ; lequel se défendra, haut et fort, de n'avoir pas agit quand viendra le temps du bilan. On parie ?!?</p>
<p><a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2020/04/01/3" title="3">3</a> En cas d'accident nucléaire, les plans prévoient le <strong>confinement</strong> de la population dans les logements ; sans motifs dérogatoires permettant des sorties ! Pas même dans les jardins ! Au confins du merveilleux, n'est-ce pas ? La radioactivité, c'est pire que les virus !</p>http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2020/04/01/Covid-19-%3A-Urgence-nucl%C3%A9aire-%212#comment-formhttp://ecodouble.farmserv.org/index.php?feed/atom/comments/517La course à l'abîme de l'ingénierie énergétiqueurn:md5:f7512962ef15cd05687287ca156defd32015-09-23T17:18:00+02:002015-09-23T17:18:00+02:00ÉcodoubleParoles d'invitésAdemecollapsologieNucléairetransition énergétiqueÉolien <p><strong><a href="http://blogs.mediapart.fr/blog/bertrand-rouzies/010915/la-course-labime-de-lingenierie-energetique" hreflang="fr" title="La course à l'abîme de l'ingénierie énergétique">Billet initialement publié le 1er septembre dernier par Bertrand Rouziès-Léonardi sur son blog du Club de Mediapart</a>.</strong><ins></ins></p>
<p>Nous savions l’industrie nucléaire française grevée de dettes vis-à-vis de ses actionnaires et des générations futures, nous nous attendions donc à ce que le tabou de sa finitude, dans notre hexagone densément nucléarisé, fût incessamment levé. C’est à présent chose faite, mais le plus étonnant est que ça l’ait été par un opérateur de l’État : l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME). Celle-ci, au regard de la progression spectaculaire des énergies dites renouvelables chez quelques-uns de nos voisins, a élaboré, avec l’aide de chercheurs de l’École des Mines et d’ingénieurs d’Artelys, un bureau d’études proches des grands énergéticiens, un scénario plausible d’abandon complet à moyen terme de la filière nucléaire au profit d’un nouveau « mix » ou paquet énergétique « 100 % vert », adossé pour l’essentiel à l’éolien, au solaire et à l’hydraulique (voir schémas ci-dessous). Le très technophile magazine <em>Science et vie,</em> dans son numéro de septembre 2015, s’en est fait le bruyant relais, sous une de ces titrailles racoleuses destinées à hameçonner le gogo : « La France sans nucléaire, c’est possible ! » Cela impliquerait un effort nullement insurmontable : il n’y aurait qu’à multiplier par dix le nombre d’éoliennes, par onze le nombre de panneaux solaires et à opérer de menus « ajustements » sur le parc hydraulique existant. « Il n’y a pas de limite scientifiquement établie »<a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/09/23/1" title="1">1</a> à cette montée en puissance, s’enthousiasme Jean-Philippe Roudil, responsable de la prospective chez Réseau de transport d’électricité (RTE). Il est vrai qu’en Espagne l’éolien est devenu la première source d’électricité et qu’il couvre déjà 40 % des besoins au Danemark. Cela donne des ailes à l’imagination des marchands de tapis et fait grincer bien des dents à Polytechnique, école rivale des Mines (vieux clivage). Nouredine Hadjsaid, de l’Institut national polytechnique de Grenoble, rappelle qu’« à tout moment, la production d’électricité et sa consommation doivent être parfaitement égales, sinon le réseau risque de s’effondrer dans la minute ». Sous-entendu : le nucléaire seul assure l’équanimité énergétique. Le 100 % renouvelable obligerait à une gestion complexe de l’intermittence. Sauf que le nucléaire, tributaire du niveau des fleuves au long desquels la plupart des centrales sont implantées, peut être frappé lui aussi d’intermittence en cas d’épisode caniculaire…</p>
<p>En fait, nonobstant les affirmations de Philippe Roudil, il y a deux limites scientifiques au 100 % renouvelable, tel que le conçoivent les industriels et une majorité d’ingénieurs. La première est physique, au sens de ce que nous savons des stocks de matières premières accessibles : si tout le monde s’y met en même temps, les ressources disponibles en métaux et en terres rares, déjà grandement entamées, n’y suffiront pas et l’on se battra pour avoir l’usage exclusif des miettes ultimes. La seconde est également physique, mais cette fois-ci au sens de ce que nous savons de l’économie de l’énergie : le rendement des sources d’énergie renouvelable actuellement promues est très mauvais, comparativement à ceux du pétrole et du charbon. Les idolâtres du gigantisme verdâtre ignorent volontairement un instrument de mesure imparable de la faisabilité, le taux de retour énergétique ou TRE (ERoEI en anglais pour « Energy Return on Energy Invested »), qui se définit comme le rapport entre l’énergie produite et l’énergie investie. Le TRE moyen de la production mondiale de pétrole conventionnel est compris entre 10:1 et 20:1<a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/09/23/2" title="2">2</a> (il était de 100:1 aux États-Unis au début du XXe siècle, quand le pétrole jaillissait du sol au premier coup de pioche). Le TRE des sables bitumeux aux États-Unis oscille entre 2:1 et 4:1 ; celui des agrocarburants, entre 1:1 et 1,6:1 (exception faite de l’éthanol, tiré de la canne à sucre, qui flirte avec les 10:1) ; celui du nucléaire, entre 5:1 et 15:1<a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/09/23/3" title="3">3</a>. Le TRE du bon vieux charbon demeure imbattable : 50:1 (27:1 en Chine) ; celui du pétrole de schiste culmine à 5:1 ; celui du gaz naturel, à 10:1<a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/09/23/4" title="4">4</a>. Tous ces TRE sont en net déclin depuis une dizaine d’années. Du côté des renouvelables, rien de mirobolant : aux États-Unis, le solaire à concentration (miroirs) a un TRE de 1,6:1 ; le photovoltaïque en Espagne a un TRE de 2,5:1<a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/09/23/5" title="5">5</a>. Quant à l’éolien, il croit pouvoir se glorifier d’un TRE de 18:1<a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/09/23/6" title="6">6</a>, mais si l’on prend en compte les externalités négatives (extraction des terres rares pour les aimants permanents, pollutions associées à la production et au recyclage des divers composants, entretien coûteux et complexe, remise en état du paysage après travaux d’implantation) et les extensions nécessaires (centres informatiques de gestion de l’intermittence, systèmes de stockage, centrales électriques), le TRE tombe à 3,8:1<a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/09/23/7" title="7">7</a>. Seule l’hydroélectricité tire son épingle du jeu à 35:1, voire 49:1. Le hic est qu’on a atteint en France un quasi maximum de capacité, comme l’indique la projection de l’ADEME.</p>
<p>Par ailleurs, l’ignorance du TRE est un vice capital de l’analyse courante dès lors qu’on se penche sur l’impact social de la crise énergétique planétaire qui se profile. L’offre de services essentiels à la population dépend en effet du surplus de production dont nous disposons. Or le TRE minimal pour pourvoir à tous nos besoins, dans le cadre d’un état providence de type occidental, se situe dans une fourchette comprise entre 12:1 et 13:1<a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/09/23/8" title="8">8</a>. En deçà de ce seuil, nous serons forcés de réviser et de réduire la liste des priorités existantes auxquelles nous ne sommes pas encore prêts à renoncer. Le 100 % renouvelable cantonné à l’éolien, au solaire et à l’hydraulique, s’il est mis en route au pas de charge par des démocraties égrotantes et inféodées aux lobbies industriels, réalisera le cauchemar de l’écofascisme. Car c’est bien là que le bât blesse. À aucun moment le scénario de l’ADEME n’évoque une réorientation de la politique énergétique concertée avec les populations des territoires concernés. Les ingénieurs décident de tout et le politique suit ou ne suit pas. Rien n’est proposé sur l’amplification nécessaire des économies d’énergie ; rien n’est dit sur la soutenabilité pour la planète d’une multiplication des éoliennes géantes et des panneaux photovoltaïques ; rien non plus sur la microproduction locale simple (le petit éolien, par exemple, d’antique conception, à réétudier de près), économe en matières premières, facile d’entretien, qui se passerait de techniciens hyperspécialisés, d’ingénieurs planificateurs et de centres informatiques<a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/09/23/9" title="9">9</a>. Sous couvert d’écologie et d’interconnexion, la fin désirable du nucléaire se présente comme une course toujours plus poussée à la sophistication d’une machine folle qui sera le tombeau de l’humanité.</p>
<p><strong></strong><strong></strong><strong></strong><strong></strong><strong></strong><strong></strong>_</p>
<p><a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/09/23/1" title="1">1</a> <em>Science et vie,</em> n° 1176, septembre 2015, p. 95.</p>
<p><a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/09/23/2" title="2">2</a> N. Gagnon <em>et al.</em>, « A preliminary investigation of energy return on energy investment for global oil and gas production », <em>Energies,</em> vol. 2, n° 3, 2009, p. 490-503.</p>
<p><a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/09/23/3" title="3">3</a> D. J. Murphy et C. A. S. Hall, « Year in review ‒ EROI or energy return on (energy) invested », <em>Annals of the New York Academy of Sciences,</em> vol. 1185, n° 1, 2010, p. 102-118.</p>
<p><a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/09/23/4" title="4">4</a> C. S. A. Hall <em>et al.</em>, « EROI of different fuels and the implications for society », <em>Energy Policy,</em> vol. 64, 2014, p. 141-152.</p>
<p><a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/09/23/5" title="5">5</a> P. A. Prieto et C. A. S. Hall, « Spain’s Photovoltaic Revolution : The Energy Return on Investment », <em>Springer,</em> 2013.</p>
<p><a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/09/23/6" title="6">6</a> C. A. S. Hall <em>et al.</em>, 2014, <em>op. cit</em>.</p>
<p><a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/09/23/7" title="7">7</a> D. Weiẞbach <em>et al.</em>, « Energy intensities, EROIs (energy returned on invested), and energy payback times of electricity generating power plants », <em>Energy,</em> vol. 52, 2013, p. 210-221.</p>
<p><a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/09/23/8" title="8">8</a> J. G. Lambert <em>et al.</em>, « Energy, EROI and quality of life », <em>Energy Policy,</em> vol. 64, 2014, p. 153-167.</p>
<p><a href="http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/09/23/9" title="9">9</a> Le rapport final de l’ADEME est accessible <a href="http://www.sortirdunucleaire.org/IMG/pdf/ademe-rapport-integral-100renouvelable-opt.pdf" hreflang="fr" title="Rapport de l'ADEME">ici</a>.</p>http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/09/23/La-course-%C3%A0-l-ab%C3%AEme-de-l-ing%C3%A9nierie-%C3%A9nerg%C3%A9tique#comment-formhttp://ecodouble.farmserv.org/index.php?feed/atom/comments/420Le lent, continu, titanesque et éternel dégueuli de Fukushimaurn:md5:a4e799d45fff8beda00019ade92951852015-08-18T12:00:00+02:002015-08-24T08:59:29+02:00ÉcodoubleActualitéFukushimaNucléaire <p>Encore un truc dont on ne parle plus et pourtant c'est plus que de pire en pire.<br />
<a href="http://hillion-fukushima.blogspot.fr/2015/07/nouvelle-fuite-sur-le-reacteur-2-on-ne.html">La radioactivité fuyant de Fukushima n'arrête pas de croître</a> : vive la croissance ! Fût-elle celle des prémisses de l'effondrement et du chaos à venir !<br />
Tant qu'il y a de l'électricité, j'écris encore.<br />
Tout va bien et bonne fin de vacances.<br />
Mais ayons tout de même une pensée - une seule ! car faut pas pousser non plus - pour les esclaves de Fukushima qui meurent dans l'indifférence générale. <a href="http://hillion-fukushima.blogspot.fr/2015/08/beaucoup-dommission-de-la-part-de-tepco.html">Dernier mort le 1er août dernier</a>.</p>http://ecodouble.farmserv.org/index.php?post/2015/07/03/Le-lent%2C-continu-et-titanesque-d%C3%A9gueuli-de-Fukushima#comment-formhttp://ecodouble.farmserv.org/index.php?feed/atom/comments/406