Épisode 12 : Gaulle écrase Macron et Chirac s'amuse

Emmanuel Macron, comme un poisson hors de l'eau, ne cesse d'ouvrir et de fermer la bouche sans qu'aucun son n'en sorte, le sort jeté par Gaulle étant toujours actif.

Jacques Chirac - Eh, Charles ! On dirait que le morveux veut causer. On pourrait pas l’ouïr un peu pour se marrer : Il est tellement con !

Charles de Gaulle - Mais oui, tiens ! on dirait bien que vous avez envie de parler ?!? Vous voulez vraiment nous dire quelque chose ? Ou je me trompe ?

Macron fait deux "oui" puis un "non" de la tête.

CdG - Bien ! J'accède à votre demande Foutriquet mais avant de vous entendre (il se tourne vers Chirac) prenez ceci Chirac ! (une sorte de "buzzer", avec "EDF" écrit dessus, apparaît sur la table du Conseil, juste devant l'ancien maire de Paris). Lorsque Foutriquet sera arrogant, qu'il ne répondra pas correctement à une question, ou bien qu'il manquera de respect à quelqu'un, appuyer sur ce bouton !

JC - Oh, putain ! on va bien rigoler. J'appuie tout de suite ?!? Pour voir !?!

Valéry Giscard d'Estaing - Un peu de cœur tout de même, Chirac ! Il n'a pas le monopole de l'arrogance.

JC - Tu parles pour toi, particule ?

François Mit'rand - Mon dieu qu'il est drôle !

VGE - Malotru !

JC - Trou du cul !

CdG - Messieurs, c'est assez !

JC - Dauphin ? Cachalot ?! Baleine ???

FM - Ouh ouh ouh ! Hi hi hi !

CdG - Il suffit !

JC - ...rait d'un signe ! J'adore Goldman. C'est un grand chanteur.

Gaulle ne relève pas cette dernière "plaisanterie" de Chirac. Il clape deux fois ses mains pour rendre à Macron sa capacité à parler. Alors, instantanément, les cheveux de ce dernier se hérissent, tandis que ses yeux tournent comme des tambours de machines à sous : Chirac a appuyé sur le buzzer "EDF" ! C'est tellement drôle que tous rient, même VGE. Tout content, Chirac enchaîne :

JC - J'ai pas pu me retenir. Il n'avait certes rien dit, mais je suis sûr qu'il allait ouvrir sa grande gueule. Alors, comme j'ai toujours aimé traiter les problèmes en amont...

Macron, tout étourdi et ébouriffé par la décharge, récupère. Chirac en profite.

JC - Dis donc morveux, elle est dispo, ce soir, ta louloute ? Parce que Bernadette, elle, elle est pas en forme en ce moment et j'ai comme une envie de décoincer ta bourgeoise... (et comme il voit Poher en train de rire à son "bon" mot quelque peu salace et relativement déplacé vis-à-vis de la gent féminine) Tiens ! Poher !?! Vous êtes là ? Quelqu'un est mort ? C'est pas moi, au moins ?!?

Chirac "ressuscité", l'ambiance est de nouveau plus légère, si bien que même Sarkozy et Hollande arrivent eux aussi à rire.

Charles de Gaulle - Chirac ! Un peu de respect envers les femmes bon dieu !
Quant à vous Foutriquet, je vous le redis, haussez le ton et Chirac vous enverra le courant d'EDF. Vous avez bien compris ? (Macron fait oui de la tête et Gaulle poursuit) Que disais-je, déjà ?

Chirac, taquin, fait un petit signe de la main à Macron.

Nicolas Sarkozy - Vous "disez", Président-chef, que le nouveau il macronait et que les arbres il les traite mal.

CdG - Ah, oui ! merci Sarko.

NS - Oh, vous savez, cela c'est pas grand choses, Ô Grand Général. C'est juste pour rendre service que je disais ça, nnchhh !

Gaulle lève les yeux vers le ciel, désespéré.

CdG - Oui bon ... euh... enfin... continuons !
Je vous parlais donc, Foutriquet, de votre programme si vanté dans les médias, pompeusement nommé "Plantons des haies" et doté de 50 millions d'euros, programme "ambitieux" disiez-vous, visant à planter 7000 km de haies bocagères. Vous vous souvenez, n'est-ce pas ?

Tout en regardant Chirac avec inquiétude, Macron acquiesce d'un signe de tête. Chirac lui répond par un coucou de la main gauche, tandis que sa main droite reste posée sur le buzzer.

CdG - Et je vous disais aussi que ces 7000 km, c'était un effet d'annonce pour macroner, Vous vous souvenez toujours, hein ?

Macron, inquiet et à contre cœur, se fend d'un petit "oui", les yeux toujours rivés sur Chirac.

CdG - Et bien maintenant, je vais vous exposer la réalité de ce qu'il s'est passé dans nos campagnes depuis 2006, la dernière année de Chirac, lequel avait le mérite de parler un peu, mais avec cœur - il faut en convenir - du réchauffement de Notre Maison Terre. Vous allez voir à quel point il y a un océan jupitérien entre vos annonces et la réalité.

Macron n'est pas à l'aise : la voix du Général est toute douce. Gaulle poursuit.

Alors voilà ! En France, de 2006 à 2014, les chiffres officiels rendent compte de 10400 km de talus détruits annuellement.
En 2015, vous êtes porté aux responsabilités budgétaires par le batave ici présent, ce qui vous sert de tremplin pour l’Élysée en 2017.
Or, d'après un rapport d'une instance de "votre" Ministère de l'agriculture, entre 2017 et 2021, c'est en moyenne 23571 kilomètres de haies bocagères qui ont été rasées chaque année ; soit un total d'environ 150 000 kilomètres.
Il faut rajouter à ce kilométrage hallucinant, environ 25 000 km rasés en 2022 et, disons, un petit 10000 km sur les premiers mois de cette année - vous voudrez bien accepter comme très probable, considérant votre lancée sur les années précédentes, ces deux estimations personnelles.
Tant que nous y sommes, ajoutons aussi 20 000 à 40 000 km - autre estimation personnelle - rasés lorsque vous étiez ministre des finances. Donc, vous au pouvoir, c'est, au bas mot, 230 000 km de haies qui ont été rayées de la carte, sans que vous n'ayez daigné lever le petit doigt pour arrêter ce massacre.
Pourtant, vous aviez tout le loisir d'alerter et d'agir ! Par exemple, compte-tenu de la situation climatique mondiale, vous auriez pu demander qu'un projet de loi visant à la protection intégrale du bocage existant soit présenté ou proposé. Or, il n'en fut rien !
Alors, Foutriquet, je vous pose la question : Lorsque vous osez annoncer dans les médias une vague mesure compensatoire "macronables" consistant à faire replanter 7000 km de haies "pour sauver le climat" alors que vous avez laissé détruire, sans broncher, durant 8 années, presque un quart de million de kilomètres du patrimoine bocager du Pays.....(silence).......... VOUS VOUS FOUTEZ DE QUI ?

Les cheveux de Macron se hérissent de nouveau : Chirac, surpris par la brusque et très sonore colère du Général, a involontairement appuyé sur le buzzer.

CdG (Toujours en criant) - Vous savez que c'est environ 250 millions d'arbres et d'arbustes qui ne fixent plus de CO2, à cause de votre inaction, de votre inconscience, de votre incompétence et de votre soutien indécent à l'agro-industrie ! Il me vient l'envie de vous faire fusiller. (Mais, maître de lui toujours, Gaulle reprend une voix normale). Alors je vous le demande : vous comptez faire quoi ?

EM - Ben, je... ! (Il regarde Chirac tout en essayant de recouvrer ses esprits le mieux qu'il peut - le courant est fort) Il... il me paraît vraiment très souhaitable de demander qu'un projet de loi soit, sans délai, présenté pour protéger l'intégralité du bocage de notre pays.

JC - Et ben ça c'est très bien morveux ! Nous comptons sur toi pour ça ! Hein ??? les gars ? qu'on compte sur lui ?

NS - Mais oui, on y compte sur lui !

Alain Poher (qui semblait absent depuis un petit moment) - Mais cela me revient : "Foutriquet", ce n'était pas le surnom de Thiers ?

GP - Si ! Poher, c'était bien son surnom. Mais j'espère que vous ne souhaitez pas le voir invité ici !?!

VGE - Il a été Président du Conseil ! Et aussi de la République. Moi je suis pour !

CdG - Giscard, on reconnait bien en vous l'archétype de l'aristo de théâtre de boulevard. Thiers à massacré La Commune ! Il a combattu le Peuple ! C'est un traître et un assassin arriviste : il est le Rastignac de la politique française ! Pas question que je convoque ici ce Jean-Foutre, ce pignouf, ce gougnafier, ce faquin, ce minable traître, ce tueur de Peuple !

François Hollande - Et puis d'ailleurs, s'il y a ici deux Foutriquet, cela ferait deux tiers ! Et deux tiers, c'est moins que "un" au total ! Donc, ce n'est pas possible. Oui ! c'est pas possible.

Tous se tournent vers Hollande, qui effaré, qui abasourdi, qui interloqué, selon le degrés d'intelligence de chacun. Hollande, lui, semble fier de sa remarque. D'ailleurs, il en profite pour ingurgiter une poignée de cacahuètes. Gaulle, dépité, décide de ne pas relever ce dernier propos complètement débile (à quoi bon ?). Mais Chirac ne peut se retenir :

JC - Dis donc "Lait caillé" : En connerie, t'es vraiment un champion du Monde ! Et puis révise tes maths : Une personne, c'est toujours un entier ! Pas une fraction !

FM - Cela dépend Chirac ! Regardez le cas de Louis XVI : Il a été fractionné en deux parties !

CdG - Hollande et Mi'ttrand ! Lorsque vous exposez vos ineptes théorèmes mathématiques on comprend mieux les lacunes dont vous avez fait preuve dans la gestion comptable de la France.
Je disais donc, Foutriquet... (accablé par la "débilétude" de certains de ceux qu'il a convoqué, le Général fait un gros effort de "calmitude")... de qui vous moquez-vous lorsque vous annoncez vouloir replanter 7000 km de talus alors que, par ailleurs, en huit ans, vous en avez laissez détruire plus de 230 000 km sans lever le petit doigt ?

Foutri... (Que les lecteurs et lectrices veuillent bien me pardonner pour cette très irrespectueuse erreur de frappe alors que je me dois de rester impartial dans ce débat de haut niveau) EM - Mais j'ai jam... (Chirac bouge) ...Monsieur le Président, je pense en effet avoir fait une erreurOUUUHaaaaaaaaaaa !

Chirac à appuyé sur le buzzer "EDF".

JC - Une erreur !! Une erreur !?! Tu crois pas, Foutriquet, que le mot est faible ? Moi, je les aime beaucoup, les arbres.

EM (à très haute voix) - Au temps pour moi, Monsieur le Président Général ! Je sais avoir fait une immense et irréparable faute en laissant commettre ce crime. Je vais donc, parce que c'est indispensable pour la survie de notre pays, lancer un grand plan sans précédent en faveur du bocage.
Aussi, instamment, je vais faire classer comme Réserve Nationale la totalité du bocage national subsistant, sans qu'il soit possible, pour quiconque, de voir son bocage personnel échapper à ce classement.
En même temps, seront aussi classés l'ensemble des cours d'eau et tous les murs en pierre sèche en état ou en ruine. En effet, ces entités forment, d'après les naturalistes, avec le réseaux de haies, la très précieuse "trame verte, bleue et grise", soit un habitât vital pour la biodiversité ; et pour nous aussi. J'ajoute que les ripisylves seront classées aussi avec le même niveau de protection.
En même temps, je vais lancer une première campagne de replantation pour 3 millions de kilomètres de talus sur 3 ans. Cette campagne s'imposera en priorité à tous les propriétaires de terres agricoles dans le Bassin parisien, le Nord, l'Est et le Centre Ouest du pays, c'est-à-dire dans toutes ces mornes plaines sans âme, faute d'arbre, de notre territoire national. Je précise d'emblée que les propriétaires qui ne voudraient pas de haies chez eux se retrouveraient privés de subventions de la Politique Agricole Commune et se verraient, en outre, affectés par une très conséquente imposition foncière sur leurs terres, dont j'imagine le montant minimal aux alentours de 500 euros par an et par hectare.
Pour mener à bien cette campagne de replantation, je vais mobiliser tous les moyens de petits terrassements disponibles afin de parceller les surfaces agricoles en champs et prairies de un à trois hectares - surface maximale autorisée - par l'érection d'un réseau de merlons de terre, lesquels devront être renforcés de soutènement en pierre sèche sur leurs bords quand de la pierre sera disponible sur place. Durant ces opérations de terrassement, tous les étangs et toutes les anciennes mares comblés seront rétablis. Bien entendu, les très rares plans d'eau demeurés intacts jusqu'à aujourd'hui seront conservés et classés, qu'ils soient permanents ou temporaires, tout comme seront classés aussi tous ceux qui auront été rétablis.
Dans le même temps, je vais interdire, parce que trop gourmande en eau, la culture du maïs - maïs que nous exportons débilement vers le Brésil via La Rochelle. De cette façon, il deviendra possible de mobiliser une partie du potentiel d'irrigation de ces régions pour garantir la bonne survie des jeunes plants d'arbres durant les premières années suivant leur plantation.
Dans ce plan, il va de soi que tous les projets de bassines tombent à l'eau.
Afin de relancer intelligemment l'activité d'ingénierie du Pays, je propose en même temps un pacte de type nouveau avec de petits bureaux d'études locaux à capitaux français : je souhaite les missionner pour, sur la base de synthèses des cadastres anciens et actuels, des cartes topographiques, géologiques et hydrologiques, ainsi que des photos aériennes et des résultats des toujours nécessaires et indispensables reconnaissances sur le terrain, élaborer les plans de ce nouveau bocage français.
En parallèle, je vais réactiver une puissante Administration des Eaux et Forêts - organisme qui n'aurait jamais dû être supprimé. Je la veux entièrement composée de fonctionnaires naturalistes à embaucher parmi notre jeunesse studieuse et très engagée dans la défense de l'environnement. Je donnerai à cette administration rétablie le pouvoir de coordonner et contrôler, de façon pointilleuse, cette campagne de plantation de haies, ainsi que celles qui suivront. Au-delà, et pour les siècles à venir... elle veillera à la complète protection de toutes les continuités écologiques (vertes, bleues et grises) qu'elle aura contribué à reconstruire, ces dernières étant les mieux à même de nous assurer un futur.
Et lorsque viendra, dans 30 ou 40 ans, le temps où ces haies seront en capacité de supporter un début d'exploitation sans que leurs fonctionnalités écologiques ne s'en trouvent affectées, ce sera cette même administration qui contrôlera cette exploitation, dont on peut imaginer qu'elle sera parfaitement respectueuse du vivant si elle se fait aux seins de communs communaux locaux. En tout cas, les coupes rases ne pourront plus être, jamais !

FM - Et bien dites donc, c'est finalement pas mal l'ENA, quand l'énarque le veut bien. Ce petit me fait penser à Attali.

FH - M'oui, c'est pas mal. Mais ses systématiques "en même temps" m'énervent un peu.

VGE - Moi je me suis un peu perdu dans toutes ses "campagnes" en tout sens.

GP - Je suis d'accord, c'était un peu lourd par moment. Mais il y a tout de même du fond. Reconnaissons-le !?!

Intérieurement, Macron souffle. Et il se dit qu'il a vraiment eu une bonne idée en recevant, pour un rapide café à l’Élysée, il y a quelques jours - "pour faire bonne figure !" lui avait soufflé un conseiller - des chercheurs écolos qui lui ont proposé ce programme - qu'il avait bien entendu trouvé loufoque - et qu'il vient de répéter comme un perroquet, lui permettant ainsi d'éviter une décharge électrique, que Chirac n'aurait pas hésité une seconde à envoyer. D'ailleurs ce dernier semble maintenant à la fois déçu et surpris. Alors, c'est le Chirac positif, mais sur ses gardes, qui prend la parole :

JC - Ben Gamin, je vois que tu fais des étincelles grâce à EDF ! Alors, tant que tu y es, tu pourrais pas aussi nous dire un truc intelligent concernant la finance mondialisée. Et si tu as quelques passages à vide, je te recharge illico ta "batterie verte" avec de "l'élec Nuc" toute aussi verte ! De la 100% sans "C O deux" comme tu aimes à dire sans rien savoir de la réalité des Lois de la Physique ! (*)

Avec angoisse, Macron doit obtempérer : Il sait que Chirac, vu son sourire, cherche à ce qu'il dise quelque chose méritant un coup de buzzer. Et il sait aussi que s'il ne fait pas ce que lui demande l'électricien de service il prend d'office une décharge. Alors, avec emphase, il se lance.

EM - Quant à la finance, l'ennemi du Monde,...

FH - La finance, "mon ennemi", c'est de moi ça ! "Mon ennemi c'est la finance !" oui, c'est de moi ! (Hollande a bombé le torse mais sa bedaine garde "nez en moins" le dessus en dessous. Surréaliste !).

NS - Oui, ben ça on le sais, hein ! C'est pas la peine d'en rajouter !

FM - C'est un peu comme mon : "Oui, Monsieur mon Premier Ministre", huhuhuhu !

JC - Dis donc "la mite", tu radotes ! Tu veux pas que je te branche aussi sur le buzzer ?!? C'est bon pour le cerveau ; surtout quand il est vicieux comme le tiens !

FM - Non merci, "Monsieur mon Premier Ministre". Huhuhu !

VGE - Je reconnais que celle-là, elle est bien envoyée, "Monsieur mon successeur".

FM - Aller, sans rancune, "Monsieur mon prédécesseur". Heuheuheu ! Hihihi !

CdG - Messieurs !!! Ce n'est pas un peu fini ces guignoleries ! En comparaison de ce Conseil, une cour de récréation de maternelle s'apparente à l'Académie des Sciences !

GP - Encore une fois le juste bon mot, Monsieur le Président. Ils sont inconséquents.

CdG - Non Pompidou ! Le mot est bien trop faible.
Quant à vous, Foutriquet, je préférerais que vous ne parlassiez pas à la première personne lorsque vous exposer votre programme, car ce sont des françaises et des français qui vont faire le travail de rétablir des conditions permettant notre survie ! Vous, vous n'avez d'autre choix que de faire votre devoir, en sachant qu'on ne peut espérer tirer un quelconque mérite en ne faisant que ce qui est son devoir. Et votre devoir, aujourd'hui, au poste que vous occupez, je vous l'accorde, c'est de mettre en place le cadre administratif et financier permettant l'indispensable restauration de notre magnifique territoire nourricier, mis à mal par l'agro-chimie que jusqu'ici, vous même, vous avez toujours soutenue servilement. Mais vous devez faire cela avec l'unique et impérieux objectif de sauver Notre Pays et Notre Nation, mais aussi avec le non moins impérieux objectif de montrer l'exemple au Monde, car la France, hélas, ne peut pas se sauver toute seule.
Alors continuez d'exposer votre projet ! car pour le moment, ce que vous venez de nous proposer, c'est un début, mais ce n'est pas suffisant pour sauver le Pays ! Vous devez voir plus grand, plus loin, plus novateur, plus audacieux, plus radical ! Plus opposé à votre conditionnement ultra-libéral !

Macron se met à trembloter. On devine, à le voir, qu'il n'a pas la grandeur qu'il faut dans ce moment historiquement critique que vit le Monde.

EM - Ce premier plan lancé... je... je... oh que je suis fatigué ! Je suis mal, pas bien... Noonnnn ! Nonnnnn ! Arrêtez ! Laissez-moi !

En fait, il est en train de se réveiller : Dans son lit, il s'agite en criant !

Brigitte Macron - Chéribébé ! ça va pas ? Qu'est-ce que tu as ?

(*) Une électricité nucléaire sans CO2, cela n'existe pas, mais, hélas ! aucun politique ne le sait. Sauf Chirac depuis qu'il est mort ! Il est trop fort !

(À suivre)

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