Le Maire prépare tout pour la crise de janvier prochain

Si vous épargnez en assurance-vie, comptez vos sous en cette fin d'année : Vous en aurez moins l'année prochaine, dès que la crise se déclenchera - peut-être sera-ce d'ailleurs "l'ultime crise", celle initiant l'emballement de l'effondrement de notre système.
Notre bon ministre "de l'économie et de l'insolvabilité" s'apprête en effet à faire passer un arrêté permettant une entourloupe qui fera du bruit.
Hélas, grâce au silence, à ce sujet, des médias à la botte, lorsque le bruit vous parviendra aux oreilles, l'entourloupe aura été faite !
Si, d'aventure, vous êtes curieux, le détail de l'arnaque est présenté dans un des récents articles de Charles Sannat. En gros, les intérêts de vos placements vont être alloués au renforcement des fonds propres des compagnies d'assurances qui peinent à équilibrer leurs comptes : vos intérêts ne seront plus à vous ! (Souvenons nous que les CDS existent toujours ! Cela va "faire du vilain" quand les compagnies d'assurances vont devoir rembourser les banques de leur pertes spéculatives. Prévoyantes, les assurances anticipent pour ne pas être prises au dépourvu une fois que le typhon sera venu).

Ce que je vous dirais, pour vous bien faire comprendre la situation, c'est que depuis 2013, les banques centrales - américaine puis européenne, mais aussi la japonaise depuis plus longtemps - ont imprimé du papier monnaie à n'en plus finir (Quantitative Easing) ; d'ailleurs, la FED en a tellement imprimée à partir de 2012 qu'elle évite, depuis, de publier chaque année le volume de sa masse monétaire en circulation, ceci afin de ne pas affoler les "masses populaires" sur l'état de l'économie mondiale.
Il y a ainsi tellement d'argent en circulation que les taux d’intérêts baissent, jusqu'à devenir négatifs ! (Notons qu'une grande partie de cet argent récemment imprimé a disparu "dans la Nature", ceci signifiant, d'après le Wall Street Journal, que des coffres des banques il est passé (comment ?) dans les coffres "d'organisations criminelles, de fraudeurs fiscaux et de personnes inquiètes d'un futur effondrement financier", comme l'explique un article du le Canard enchainé du 18 décembre 2019).
D'ici peu, les petites gens qui ont quelques petites économies vont donc les voir fondre comme neige au soleil ; au soleil d'un fort réchauffement climatique (tel celui qui a cours actuellement), par l'action conjuguée de spoliations légales successives qui viendront au gré des nécessités , de l'inflation et de la "négativité" des taux. Tout cela parce que l'argent a perdu toute sa valeur, trop d'argent tuant l'argent !

Cet arrêté vient clore un immense gâchis qui aura duré plus de dix ans !
En effet, cet argent trébuchant, puisque garanti par NOS banques centrales (celles-ci appartiennent aux peuples), au lieu de servir à désendetter le Monde, qui depuis les années 1980 s'est vu mis en complet "sur-esclavage", grâce aux crédits faciles à taux élevés, n'a servi qu'à enrichir encore beaucoup plus les financiers "sur-esclavagistes".

En fait, on peut résumer l'histoire en trois points :
- une très infra-minorité de personnes, à partir des années 80, a bloqué et ruiné l'économie par un système financier générant un perpétuel tsunami de dettes (dettes s'amplifiant chaque jour par les intérêts) ;
- entre 2008 et aujourd'hui, afin de renflouer les banques ruinées par la spéculation tous azimut qu'elles faisaient grâce aux profits générés par les intérêts, les peuples ont été contraints de faire l'effort de payer pour sauver leurs "Maîtres", en émettant de la monnaie via leurs banques centrales, ce qui a évité à la très infra-minorité de faire faillite ;
- mais la très infra-minorité, bien que prise en défaut, n'a jamais été sanctionnée pour ses exactions néolibérales criminelles et dangereuses. Elle a même eu le toupet de refuser toute règlementation bancaire visant à la discipliner dans le but de mettre, une bonne fois pour toutes, "la finance au service de l'économie". Pire, elle a finalement capter pour elle seule toutes cette nouvelle monnaie, tout en exigeant que le système de "l'économie au service de la finance", générateur de dettes, persiste. Ainsi elle a obtenu, par collusions avec les politiques, le beurre, l'argent du beurre, l'argent de l'argent, l'asservissement de la fermière, le plus grand malheur de cette dernière et la destruction de la Nature et de tout ce qui faisait l'Humanité.

L'effondrement du Monde, à cause de la finance et des tarés du genre de Macron, Trump, Xi, Johnson, Merkel et consorts, est désormais inéluctable.
Et ne comptez pas sur vos économies pour passer le cap : Les tarés vont toutes vous les barboter ! Complètement débiles, ils croient encore que cela les sauvera une nouvelle fois.

Les tarés, c'est acquis aujourd'hui, il faudra les éliminer de tous les niveaux hiérarchiques et de pouvoir, fermement, voire brutalement si nécessaire !
En fait, pour bien commencer leur élimination, il nous faut d'ores et déjà agir. Agir par le boycott.
Il nous faut boycotter tout ce qui est superflus, de grandes consommation et produits par les multinationales qu'ils ont en propriété.
Il faut boycotter la mode, les produits de beauté, les supermarchés, les alcools, la cigarettes, la télé, les sodas, Mac Do, les journaux avec pubs, les séries, le cinéma, l'avion, le TGV, les fringues...).
Et, "en même temps" (Macron n'a jamais rien inventé, pas même cette expression !) que nous mènerions le boycott, il nous faut chercher tous azimut à sortir du système, individuellement, chacun et chacune à sa façon, pour mieux nous retrouver en petites communautés communicantes, collaboratives et commerçantes, et pour faire aussi, en commun, du potager, de la restauration d'espaces naturels, des travaux d'amélioration bas carbone sur nos habitations, des fêtes de village et de quartier, des travaux manuels, du théâtre, de la lecture, de l'art et du partage.
Là est la seule voie qui nous reste.
En effet, il ne faut plus compter sur l'argent ! Ni pour s'enrichir, ni, d'ici peu, pour pouvoir survivre avec celui venant en contre-partie de la cession à un employeur de sa force de travail.

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